Prénom & nom : Hetahel Alarik.
Sexe : Masculin.
Âge du personnage : Vingt ans.
Race : Humain.
Description physique :
Hetahel est un humain qui est bien constitué. En effet, il est grand et musclé et l'ouverture de sa chemise peut d'ailleurs laisser entrevoir ses muscles. Il a un visage fin, un nez fin ainsi qu'une fine bouche. Il a un air angélique et un teint plutôt pâle mais n'est pas un vampire pour autant ! Il a un regard profond, ses deux yeux sont de différentes couleurs, l'un est bleu pour le côté gauche et l'autre est jaune pour le côté droit. Ses yeux sont surmontés de deux fins et larges sourcils et sa tête quant à elle est ornée d'une magnifique chevelure blanche qui s'arrête à peu près à à ses épaules. Une fine chemise de toile blanche enveloppe toute la partie supérieur à la ceinture. Lorsqu'il est seul, il ne la revêt pas préférant être à l'aise. Une fine ceinture noire entoure son bassin afin d'y faire tenir son magnifique pantalon blanc qui épouse à ravir ses formes. Il finit ensuite sa panoplie par des chaussures noires, élégantes, plutôt des chaussures de soirée mais qu'il porte quotidiennement afin de paraître classe à tout ses semblables et autres créatures qu'il peut côtoyer. Il ne porte cependant pas d'ornements à ses poignées ou oreilles.
Description mentale :
Hetahel n'est pas quelqu'un de méchant. Il a un côté assez arrogant avec ses vêtements classes mais ne cherche pas à l'être. Il est surtout curieux de nature, toujours prêt à partir dans de lointaines contrées afin d'en apprendre plus sur les cultures, modes de vies ainsi que sur les personnes qui y vivent. Il est quelqu'un qui lit beaucoup, aimant surtout la littérature sur les mondes inconnus. Il n'a pas de religion à proprement parlé, mais les accepte toutes car pour lui toute religion a une bonne raison d'exister et d'être respectée. Il est doux mais a deux grands défauts. En effet, celui-ci est assez réservé. Il sait qu'il faut s'imposer sur ces Terres si il veut y obtenir sa place. Il est aussi très naïf, pour certains c'est une qualité, pour d'autres, un défaut, qui pourrait le mener à sa perte, mais il ne peut s'en empêcher, il sera toujours prêt à aider quelqu'un dans le besoin quitte à se priver lui même de son bonheur pour rendre les autres heureux ou à souffrir comme lors de sa dernière soirée avec une lycan, qu'il essaya d'apaiser en échange de laquelle celle-ci l'a mordu à l'épaule. Il ne pense donc que rarement à son bonheur personnel. C'est quelqu'un de posé, qui ne cherche jamais à s'énerver et essaye toujours de trouver une issue à une situation problématique ou parfois dangereuse. En clair ce n'est pas quelqu'un de dangereux, il est surtout doux et attentionné envers les personnes qu'il rencontre, et est prêt à se sacrifier pour les autres. Messieurs Dames, Lycans et Vampires, voici une proie facile !
Histoire du personnage :
Une nouvelle journée commençait sur les Terres D'oryenna. Les rayons du soleil passaient depuis quelques heures par la meurtrière et caressaient mon visage. Je ne savais quelle heure il était. Je me levais et me dirigeais vers ma fenêtre afin d'y ouvrir les volets. Je les ouvre. Malheur me voilà maintenant aveuglé ! Je met ma main droite au dessus de mes yeux pour y faire une protection et regarde le soleil. Vu sa position dans le ciel, il devait être vers les neufs heures du matin. Il faisait chaud. Je refermais donc les volets afin que ma chambre puisse rester fraîche et partis vers la pièce qui se faisait appeler " Salle d'eau". Je mis de l'eau sur mon visage, je paraissais plus réveillé. Je repensais à mon passé. J'ai vingt et je ne sais rien de ma vie. Les personnes qui m'ont accueilli sont les propriétaires du " Moulin des vieux temps". Ma mère, d'adoption, mais je ne peux l'appeler qu'ainsi ,m'a dit m'avoir trouvé un soir alors que je n'étais que bébé à l'entrée du moulin. J'étais seul, dans un panier avec un drap blanc faisant office de couverture pour cacher mon corps nu. La seule indication laissée par ma véritable mère fût : Hetahel Alarik. Avant de m'abandonner elle m'avait donc donner un prénom.
J'ai grandit dans cette Taverne, au milieu d'ivrognes et de toute autres créatures que l'on pouvait rencontrer dans cet endroit. J'y ai appris à lire, à écrire mais aussi à y travailler. J'ai commencé par empiler le bois pour chauffer le Moulin l'hiver, puis en grandissant à le couper à la hache. Maintenant que je suis majeur, mes parents me laisse être serveur. Ce n'est pas un travail qui me plais, mais grâce à celui-ci je peux mettre des économies de côté puisque je ne paye pas ma chambre. Mon plus grand rêve serait de quitter ce continent et de partir à l'aventure vers de lointaines contrées.
Je souris suite à ma dernière phrase et quitte la salle d'eau pour ma chambre de nouveau, afin de m'y changer pour sortir. Aujourd'hui était mon jour de repos. Je pris ma chemise et mon pantalon qui était plié dans une armoire massive faite de chêne, les enfilais, pris mes chaussures qui, elles, sont sous le lit et mis ma ceinture. J'étais maintenant prêt.
Je descendais les escaliers et passais par la Taverne, seule issue pour sortir du Moulin. Je pris le temps de saluer les clients d'un signe de tête et me dirigeais vers la sortie. << Oryenna, quel beau continent que voici ! >> m'exclamais-je. Il était verdoyant, les gens y étaient agréables pour la plupart et la joie de vivre y régnait. Pour ma part, je m'y plaisais bien. Je marchais tête baissée, les mains dans les poches ayant le soleil en face de moi. Sur le chemin je pouvais croiser de superbes demoiselles, je leur faisais une révérence et leur souriais. J'avais pour projet de me balader dans la capitale aujourd'hui, mais elle était assez éloignée du moulin. Je sortis donc ma bourse et payais un cocher pour qu'il m'y amène. La route que nous empruntions était continue et était structurée par des arbres de droite à gauche. Le vent faisait danser mes cheveux. Après une heure et demi de calèche, j'arrivais enfin devant cette énorme structure de pierre qui entourait la cité. Il y avait deux tours qui la protégeait, l'une au Sud, et l'autre à l'Ouest.
Je passais donc les murailles, donnait mon laisser-passer à un garde et entrais dans la cité. Elle était noire de monde comme à son habitude. Avant d'essayer de franchir cette énorme masse noir, je regardais de nouveau le soleil. Il était maintenant midi. Je me frayais un chemin tant bien que mal à travers la foule et me dirigeais vers une petit taverne dans laquelle j'avais l'habitude de manger lorsque je venais dans la capitale. Quatorze heure, j'avais bien mangé et bien bu. La capitale était moins peuplée car beaucoup de personnes étaient sortie pique-niquer à l'extérieur ou faisaient la sieste à cette heure là. Je n'avais plus le soleil en face de moi, je pouvais maintenant marcher la tête relevée, fier de vivre. Je me baladais dans la cité pendant plusieurs heures. Je n'avais pas fait d'achats préférant économiser pour peut être un jour, partir en voyage. Si ce jour devait arriver, il me faudrait un bateau et un équipage. Ne connaissant rien en navigation, je préférais tout de même arriver en morceaux sur les autres continents. Je ris intérieurement. Nous étions en été, le soleil n'était pas près de se coucher mais il paraissait déjà plus bas, il devait sûrement être dix huit heures. Il me fallait rentrer maintenant, j'avais encore du chemin à faire et je devais me lever tôt car je travaillais de nouveau le lendemain.
Le voyage se passa tranquillement comme lors de l'allée mais je mis plus de temps car il fallut s'arrêter pour donner à manger aux chevaux. J'y avais d'ailleurs pris plaisir et le cocher, le remarquant, me proposa de venir m'occuper des chevaux lorsque j'aurai du temps libre car lui n'avait plus trop le temps avec les aller-retour entre la Cité de l'Aurore et le Moulin. J'acceptais. Me voilà de retour. J'ouvrais l'une des doubles portes de la Taverne, saluais de nouveau les clients, qu'ils soient ivre mort ou encore sobre, embrassais mes parents et me dirigeais vers la salle d'eau. Je me lavais et étais ensuite exténué après cette longue journée de marche. Je mis le pantalon qui me servais pour dormir la nuit et éteignais la bougie posée sur la commode à côté de mon lit. Je m'installais ensuite dans le lit, mis mes bras derrière la tête et regardais le plafond. Encore une merveilleuse journée qui s'inscrivait dans ma vie d'humain. Je remontais le drap jusqu'à ma taille et fermais les yeux. J'espérais une nouvelle fois que la journée de demain serait riche en rencontre car pour le moment je n'avais pas d'amis à proprement parler. Quelques minutes plus tard je me sentis partir, rejoindre mon plus fidèle amant depuis vingt ans, Morphée...
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Comment es-tu arrivé ici ? Une amie à moi sur un autre jeu, sachant que j'adore le RP depuis plusieurs années maintenant, m'a proposé de rejoindre ce forum entièrement dédié au Rôle Play.
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