Le soleil était déjà levé depuis un moment quand Elëa se mit en route, elle avait pour mission de ramener de la nourriture pour la meute et seules quelques epèces, appréciés de ses confrères se trouvaient dans la forêt des damnés. Elle s’avait qu’elle devrait sûrement camper sur les lieux afin de se mettre en chasse dès l’aube. Ses affaires étaient prête, sa dague parfaitement ajustée à son molet, son arc, dans sa main droite et ses flèches, bien en place sur son dos. Cet arc avait été fabriqué par des elfes et offert à sa mère pour un service rendu à leur peuple. Elle y tenait beaucoup et ne s’en servait presque jamais malgré qu ‘elle détenait d’incroyable talents d’archer. Une fois sortie, son cœur se mit à battre plus vite et sa respiration s’accéléra, c’était pour elle, la première fois qu’elle quitté la residence pour aller chasser seule. Elle n’avait pas peur de voyager seule mais elle n’aimais pas reprendre le chemin de son passé, celui qu’elle avait pris pour fuir son père. Elle espérait ne pas le recroiser, elle aimait trop cette nouvelle vie pour retourner à l’endroit de tout ces malheurs. Il était inconsevable pour elle de quitté cette « nouvelle famille », tout ces gens, comme elle, qui ne la jugé pas parce qu’elle ne pouvait pas se contrôlé et qui devenait violente quelque fois, qui ne prenaient pas peur quand elle se promenait sous forme louve, qui ne lui disait pas qu’elle n’arriverait jamais à rien en se « transformant ». Ce que son père n’avait pas compris était q’elle n’était un cas à part et qu’elle n’était pas non plus un objet de foire. Ce n’était pas la seule dans ce monde à poséder cette opportunité de pouvoir etre à la fois humaine et animale. Pour elle, c’était plus qu’une chance, elle était heureuse de pouvoir être deux. De plus cette capacité faisait d’elle quelqu’un de très douée pour certain domaine qu’elle n’aurait jamais pus connaître en étant humaine ou quoi que ce soit d’autre. Elle pouvait courir à toute vitesse dans un champ ou dévorer et déchiqueter une proie encore en vie. Elle se mit à penser à toute ses techniques d’attaque qu’elle avait appris et commencait à imaginer le festin qu’elle ramènerait à la meute.

Le soleil était maintenant bien avancé et il ne tarderait plus à se coucher, la jeune femme inspectait les alentours à l’affut d’un endroit potentiellement confortable pour passer la nuit, son ventre réclamait à manger mais elle n’avait pas encore la possibilité de chasser. Son esprit ce concentra sur l’endroit ou elle se trouvait, elle connaissait bien ce coin, la nuit qu’elle avait passé par ici lui laissait encore un goût amère et une sensation de solitude, elle s’avait bien que la première fois qu’elle avait fréquenté cette endroit, elle venait de dire adieu à son ancienne vie et partait pour un départ qu’elle ne s’avait, ni bon, ni mauvais à l’époque. Elle posa son arc au pied d’un arbre ainsi que ses flèches, elle se deshabilla et pris sa forme louve. Blanche avec des yeux d’un bleu clair envoutant elle commença à marcher doucement avec beaucoup d’assurance et d’élégance vers la petite clairière qui se trouvait non loin d’elle. Gétant le moindre mouvement alentour afin d’apercevoir le moindre mouvement des bêtes qui rodaient autour et qui pourrait, potentiellement, lui servir de diner. Mais elle ne vis rien, elle sentait cependant une présence mais était incapable de se diriger vers celle-ci, de toute façon elle n’était pas animale alors cela l’improtait peu. Tout en reniflant les arbres qui se trouvait autour d’elle, elle fut arrêtée par un bruit sourd qui la fit sursauter. Elle se retourna et marcha en direction du bruit.

- Tiens… Bonsoir !

La jeune louve regarda un instant l’homme en face d’elle et s’enerva aussi tôt en lui montrant ses crocs et en grognant. Plus aucun membre de son corp ne bougaient. Elle ne voulait pas de mal à cette homme mais avait juste était légèrement supprise de son apparition fulgurante et voulait lui faire comprendre qu’elle en avait était légèrement inquiété. Après quelques minutes elle redevint plus commode et referma ses babines avant de faire demi tour pour rejoindre l’endroit ou se trouvait toute ses affaires.