Préambule  
Du personnage

Prénom & nom : Meryda Telvani (son vrai nom est Do'vryren)
Sexe : Féminin
Âge du personnage : 90 ans
Race : Hybride Humaine-Elfe
Compétence magique ? : Oui

Description
Physique

Meryda possède l'apparence d'une jeune femme d'une vingtaine d'années, à l'allure sportive et élancée. Un mètre soixante-dix pour cinquante-huit kilos, elle est équilibrée. Du fait de son activité physique intense, ses jambes sont fines et galbées, son ventre est plat et discrètement musclé et ses bras, lorsqu'ils sont contractés, révèlent des muscles puissants. Malgré cela, elle conserve une démarche et un port de tête particulièrement féminins qui poussent certains hommes à se retourner sur elle dans la rue. Son visage, sans être d'une beauté fantastique, possède un charme certain. Son teint clair ne présente aucune imperfection et n'a besoin d'aucun artifice pour resplendir de santé et de propreté. La jeune femme a également à son avantage deux grands yeux verts clairs envoûtants, qui semblent lire en vous comme dans un livre ouvert. Le gauche est marqué d'une vieille cicatrice dont elle ne préfère pas parler.
Enfin, ses cheveux achèvent de rendre exceptionnel le charme de cette demoiselle. Longs, épais et ondulés, ils sont acajous avec d'étonnants reflets cerise, sans doute issus de son hybridation.
Côté vêtements, la jeune femme aime la sobriété et la praticité c'est pourquoi elle est très souvent vêtue d'une chemise et d'un pantalon ou bien d'une armure de cuir. Cependant, elle apprécie des atours plus féminins à l'occasion d'évènements plus spéciaux. Ses couleurs préférées sont le marron, le crème, le bordeaux et le vert, qui mettent en valeur son teint, ses cheveux ou ses yeux. Quelle que soit sa tenue, elle arbore toujours son pendentif, seul souvenir de ses parents, dans l'espoir que quelqu'un le reconnaisse et lui permettent de savoir enfin d'où elle vient.

Description
Mental

Notre demi-elfe est une jeune femme très vive et réactive. Lorsqu'elle est contrariée, elle n'hésite pas à faire part aux autres de son mécontentement sans mâcher ses mots. Poussée à bout, elle peut devenir très violente et parfois même dangereuse. Aussi douée en tir à l'arc qu'à l'épée, elle n'hésite jamais à user de la force quand elle le juge nécessaire, mais rassurez-vous ! Il en faut tout de même beaucoup pour énerver cette guerrière au grand cœur. Meryda est capable d'aimer bien plus facilement que de détester. Elle ne fait certes pas facilement confiance aux gens mais elle s'attache très vite à ceux qui ont gagné sa considération. Sensible et altruiste, elle n'hésite jamais à aider son prochain sans jamais rien demander en contrepartie, suivant toujours son sens de l'honneur. La justice est en effet le principal moteur de sa vie, à tel point qu'elle est prête à dévier de la loi si c'est pour une bonne cause.
Indépendante, elle apprécie autant la solitude que la compagnie et a parfois même tendance à s'isoler pour réfléchir ou se détendre à l'abri des regards ou des conversations gênantes. Férue de lecture et d'équitation, la jeune femme aime s'instruire et profiter du contact des animaux. Contrairement à la plupart des guerriers ou mercenaires, elle est très érudite et s'intéresse particulièrement à l'Histoire, considérant que les événements passés sont autant de leçons laissées aux générations futures afin de ne pas reproduire les mêmes erreurs et ainsi accéder à une civilisation équilibrée et pacifiée.

Votre
Histoire

L'histoire de Meryda remonte bien avant sa naissance, pendant les célébrations de Solis, il y a de cela 92 ans. La ville d'Adamir était en pleine ébullition, les habitants se mêlaient dans les rues sans distinction sociale. Tout le monde se pressait autour des danseurs, des étals et des musiciens, des étoiles plein les yeux et des rêves plein la tête. Aëlyse Do'vryren, la fille unique d'une des familles les plus riches du pays, avait réussi à échapper à la surveillance de son père et déambulait sans regarder où elle allait. C'est alors qu'elle s'arrêta devant un attroupement autour d'un jeune musicien. Celui-ci jouait d'une flûte très étrange aux sonorités envoûtantes. Il n'était accompagné par personne mais il charmait l'assistance à lui seul. Lui-même suscitait l'admiration des jeunes filles. Un visage angélique, des cheveux de feu et des yeux aussi verts que les arbres qui les entouraient. L'elfe était littéralement absorbée.

Soudain, son regard croisa le sien. Il y eut comme un temps mort, puis la représentation repris son cours , comme si de rien n'était. Mais lorsque les passants se dispersèrent, elle fut la seule à rester. Bêtement, maladroitement, ce fut lui qui alla vers elle. La plupart des gens ne croient pas au coup de foudre, pourtant c'est ce qui frappa Aëlyse et Serion ce jour là. Tout le jour, ils déambulèrent tous les deux, devisant de tout et de rien. Lui dans les quartiers pauvres. Musicien à ses heures, il travaillait comme palfrenier dans les écuries de la ville. Il était humain et avait quitté sa terre natale dans l'espoir de faire fortune après la mort de ses parents.
Tout les opposait mais pourtant, ils s'attiraient, inexorablement. A la fin de la journée, alors que les derniers rayons du soleil rasant caressaient la terre, ils s'embrassèrent timidement sous un saule, au milieu des lanternes et des guirlandes.

Il leur fallut se séparer, pourtant ils ne cessèrent jamais de se voir. Au début largement platonique, leur amour mis plus d'un an à arriver à sa consécration. Les parents de la jeune elfe ne savaient rien, elle était couverte par ses dames de compagnie qui justifiaient toutes ses sorties galantes. Mais bientôt, une ombre vint ternir le tableau : Aëlyse était enceinte. Pour protéger la réputation de sa belle, malgré la douleur que cela lui infligeait, Serion lui proposa de tuer l'enfant mais elle refusa et décida de prendre la responsabilité de toute l'affaire. Son père, embarrassé mais désirant avant tout le bonheur de sa fille, décida de faire venir le jeune homme dans la propriété familiale pour faire connaissance. Il ne fallut que peu de temps à l'elfe pour se faire un avis. Ces yeux, ces cheveux si particuliers, il les reconnaissait ! Pourtant rare, ces colorations étaient quasiment les seules à se transmettre chez les enfants de la maison Montaigue, ennemie de la maison Do'vryven depuis plus d'un siècle. Dans les traits du jeune homme, le père d'Aëlyse reconnaissait bien l'arrière grand père qu'il avait combattu et vaincu en duel pour une affaire de trahison dont il ne préférait pas parler.
Serion fut reconnu et confondu. Ses parents étaient toujours en vie, en Oryenna, et s'il était venu en Evanya c'était bel et bien pour espionner les Do'vryren. Mais il était aussi tombé éperdument amoureux de la jeune femme et acceptait de trahir sa famille pour pouvoir l'épouser. Le père fut touché par ce discours mais refusa néanmoins, par respect pour sa famille. Il accorda néanmoins le droit au jeune homme de quitter le pays sain et sauf, alors qu'il était en bon droit de déclencher un affrontement.
Il retourna en terre des hommes, laissant derrière lui un enfant à naitre et son amour définitivement perdu.

Meryda vit le jour quelques mois plus tard. Elle avait le visage de sa mère mais les yeux et les cheveux de son père, les signes distinctifs des Montaigue. En ces conditions, Aëlyse ne pouvait garder l'enfant sans quoi sa fille et elle seraient honnies du clan pour être enfant et femme de traitres. On pourrait aisément oublier l'aventure de la mère mais pour cela, elle devrait montrer sa repentance en se séparant du nourrisson.
Après un an passé avec sa mère, le temps de s'assurer qu'elle soit assez forte, Meryda fut envoyée dans un orphelinat de campagne. La seule chose qu'elle garda de sa famille fut le médaillon aux armoiries des Do'vryren qu'Aëlyse glissa dans ses langes.

L'enfance de la demi-elfe ne fut pas spécialement marquante, du moins jusqu'à-ce que sa croissance se manifeste plus rapidement que celle de ses congénères. Philanthropes de nature, aucun des enfants ne lui témoigna la moindre animosité, mais elle se sentit toujours différente des autres, à part. Elle se réfugia alors dans la lecture, dévorant tout ce qui lui passait sous la main. Et quand elle ne parvint plus à se distraire, elle se tourna vers des pratiques plus martiales. A cheval, au tir à l'art ou bien à l'épée, elle surpassait même les plus costauds des garçons.

Le jour de son soixante-dixième anniversaire, elle fit ses adieux à la petite communauté pour se lancer à l'aventure. Elle trouva asile dans une petite bande de mercenaires qui sillonnaient la région. Les imaginant de bonne foi, la naïve demoiselle passa une année entière en leur compagnie, découvrant le goût de l'aventure et des combats contre toutes sortes de monstres. La plupart de ses missions consistaient à nettoyer grottes et propriétés de nuisibles un peu trop imposants ou à escorter des hommes fortunés pendant des voyages dangereux.
Petit à petit, la bande fit fortune et accueillit de nouveaux membres. Ils s'installèrent dans un vaste domaine, proche de la frontière d'Oryenna. Au fur et à mesure que l'argent affluait, Meryda commença à se poser des questions. Interpellée, elle se basa sur les paies qu'elle avait touchées lors de ses différentes mission pour faire une moyenne de la richesse qu'ils auraient dû accumuler sur une année. Les chiffres étaient formels, il y avait plusieurs milliers de pièces d'or en trop.

Un soir, désireuse d'avoir le cœur net, elle s'introduisit dans la chambre de leur meneur et fouilla les comptes. Ce qu'elle y vit lui glaça les sangs : le plus gros de leurs revenus provenaient de vols et d'assassinats tout à fait sordides perpétrés par les plus anciens du groupe. Se sentant trahie, la jeune femme recula et s'apprêta à sortir, lorsqu'elle se retrouva nez à nez avec son commandant. Il l'avait entendue pénétrer dans sa chambre. A vrai dire, il se doutait depuis un moment qu'ils risquaient d'en arriver là. Il avait entendu parler de ses petites enquêtes sur les paies reçues par les autres membres de la bande et de là, n'avait pas tardé à penser qu'elle découvrirait la vérité tôt ou tard.

Un rictus narquois aux lèvres, il pointa sur sa gorge un couteau très affûté et la regarda intensément, prêt à la tuer. Meryda vit le moment où elle allait se faire égorger. Ce fut un cheval, à l'extérieur, qui la sauva. Le hénissement puissant que la bête poussa déconcentra le mercenaire pendant un court laps de temps qui permit à la jeune femme de se dégager en donnant un grand coup dans le bras de l'homme. La lame, en déviant, lui balafra l'oeil gauche. Essayant désespérément de se dégager, elle appliqua une main sur sa blessure qui saignait pendant qu'elle agrippait un tison de l'autre. L'homme fonçait à nouveau sur elle, le couteau en avant. Paniquée, la jeune femme fit un pas de côté et frappa le bras du mercenaire aussi fort qu'elle le put mais la douleur avait à nouveau frappé, à la cuisse cette fois.
Trainant la jambe, elle recula jusqu'au bout de la pièce et manqua de tomber lorsqu'elle rencontra le mur. A nouveau, il s'en fallut de justesse pour qu'elle n'y passe. Utilisant tout son poids du corps, elle roula sur le côté et se releva, ne se faisant couper cette fois-ci qu'une mèche de cheveux. Mais à cause de sa vision brouillée par le sang, elle ne vit pas qu'elle fonçait droit dans une fenêtre. Emportée par son élan, elle la traversa et tomba deux étages plus bas, dans l'enclos des chevaux. Heureusement, un tas de paille amortit sa chute et elle ne se brisa rien. Le plus rapidement possible, elle se releva et tenta de monter sur le cheval le plus proche. Elle parvint à s'enfuir in extremis, alors que plusieurs mercenaires lui couraient derrière, armés d'arcs ou de lances. Une flèche la toucha dans l'épaule gauche mais elle resta en selle tant bien que mal. Environ une douzaine d'heures plus tard, elle réussit à passer la frontière, blessée gravement mais toujours en vie. Un groupe de marchands ambulant la découvrit plus morte que vive au pied d'un arbre. Pendant plusieurs semaines, ils prirent soin d'elle sans rien demander de plus que son amitié. Elle les quitta une fois arrivée dans la Cité de l'Aurore pour trouver un travail qui lui convenait mieux que celui de commerçante.

Elle se fit engager comme serveuse dans une auberge où elle travailla d'arrache pieds pour mettre quelques pièces de côté. Six mois plus tard, elle fit la connaissance d'un barde, venu se divertir dans l'auberge. Pour amuser la galerie, il joua plusieurs morceaux qui captivèrent Meryda plus que toute autre personne dans l'assistance. Percevant son intérêt, l'homme lui proposa de l'emmener avec lui et de lui enseigner l'art des sons et du rythme. Pendant cinq ans, elle apprit à ses côtés la pratique de la flûte, du tambour mais également de la danse. Par les petits concerts qu'ils donnaient, elle réussit  à économiser suffisamment d'argent pour s'acheter une maisonnette dans le quartier résidentiel de la Cité de l'Aurore.

Aujourd'hui, Meryda donne régulièrement des représentations assez réussies dans les auberges de la ville quand elle a besoin d'argent. Cependant, elle n'a jamais cessé de lire et d'apprendre l'histoire de sa terre, entretenant ainsi une passion marquée pour l'histoire. Depuis quelques mois, elle se prépare à quitter son foyer pour quelques temps afin d'aller étudier sur le terrain le guerres qui ravagent Ephaëlya et d'en faire le récit afin de le transmettre aux générations futures. Elle compte égaement explorer de vieilles ruines afin de se documenter plus concrètement sur la période antérieure à la Guerre des Titans.
Elle porte toujours son médaillon, dans l'espoir que quelqu'un, quelque part, puisse lui donner ne serait-ce qu'une bribe d'information sur ses origines. Il est tout à fait possible que quelqu'un la reconnaisse également comme une Montaigue du fait de ses cheveux cerise et de ses yeux émeraudes.

Présentation de
Votre don

Magie du Temps

Cette magie permet à Meryda de réparer des objets et guérir des blessures en remontant le temps jusqu'au moment où l'objet (ou allié) n'était pas cassé (ou blessé).

Palier 1 : Lors de combats stressants, Meryda ainsi que ses alliés les plus proches d'elle (dans un rayon de deux mètres au maximum) sentent leurs forces revenir et leurs blessures se refermer. Cet effet s'estompe dès qu'ils s'éloignent d'elle.

Durée moyenne : Une dizaine de minutes

Palier 2 : Meryda a désormais compris le principe de son don mais elle ne le maîtrise pas encore. Il se manifeste toujours de manière impromptue dans les situations critiques. Cependant, le champ d'action est plus grand (dans un rayon de quatre mètres).

Durée moyenne : Un quart d'heure

Palier 3 : Meryda peut désormais créer une sphère d'un rayon de cinq mètres où elle le souhaite, du moment que l'endroit ciblé est dans son champ de vision.

Durée moyenne : Trois quarts d'heure

Palier 4 : La jeune femme n'a plus de restrictions sur la taille de sa sphère, qu'elle peut modeler à volonté.

Durée moyenne : Une heure et demi pour l'inversion du temps.

Palier 5 : Meryda maîtrise à la perfection sa faculté à remonter le temps.

Durée moyenne : Plusieurs jours (à condition de ne pas dormir)

Inconvénients : Meryda peut remonter le temps mais ne peut en aucun cas l'arrêter. Ainsi, une personne qui a été blessée mortellement avant ou pendant l'activation du pouvoir finira obligatoirement par mourir quand le sort prendra fin. De plus, c'est une technique très gourmande en énergie qui nécessite une concentration optimale. La jeune femme étant très souvent immobile lorsqu'elle utilise ce pouvoir, elle est en position de vulnérabilité.

Complément
De la fiche

Code : Validé par Izilbêth
Comment es-tu arrivé ici ? A cause de quelqu'un que j'apprécie particulièrement :3
Que penses-tu du forum pour le moment ? L'univers est super sympa, les graphismes très bons, ça promet d'être épique ! (épique et colégramme, bourre et bourre et ratatam... Pardon. >< )
Voulez-vous un parrain? Non ça ira merci bien XD
Votre âge? 17 ans dans deux mois
Temps de présence possible sur le forum? Ça dépendra de mes devoirs, j'essayerai de venir toutes les semaines.

Bonjour bonjour,

Alors alors.. Même si ta fiche n'est pas terminée, je préfère venir te faire part des petits soucis que j'ai rencontré, puisqu'ils sont assez gros et pourront gêner ta validation.

Premièrement, il t'es demandé de posséder un prénom ET un nom et non pas juste un prénom. Libre à toi de choisir si tu souhaites que ton personnage porte le nom de Telvani ou Do'vryen.

Aussi, dans ta fiche et dans ton profil, il t'es demandé d'afficher l'âge réel de ton personnage et non pas l'âge qu'il semble avoir. Donc 90 ans.

Ensuite, il y a un petit problème avec ton histoire. En effet, tu dis que la mère de Meryda provenait d'une famille les plus influentes de la famille et "contrôlant" Ardamirë. Or, la seule personne contrôlant la ville d'Ardamirë est Fàliadëa Niodë et non la famille Do'vryen, il te faudra donc modifier tout cela, si tu ne veux pas être en totale contradiction avec le contexte de notre forum. D'autant plus qu'il est assez peu probable qu'une personne ait été condamnée à mourir pour un simple idylle interracial, surtout il y a de cela 90 ans où les elfes et les humains n'échangeaient aucune animosités.

Il faut aussi que tu gardes à l'idée que les mercenaires sont bien souvent réputés pour n'agir que dans des buts lucratifs et n'hésitent donc pas à tuer pour l'argent. Ton personnage étant défini comme quelqu'un d'assez droit, il semble assez incohérent qu'elle ai accepté de servir une cause aussi peu noble à ses yeux, ne penses-tu pas ?

Tu précises que ton personnage se bat avec le commandant de la troupe de mercenaire dans laquelle elle a décidé de s'enrôler. Aussi bonne combatante puisse-t-elle être, il semble un peu gros qu'elle parvienne avec une simplicité relativement déconcertante de se tirer d'un tel pétrin. Le développer mieux pour retirer cette impression de toute puissance injustifiée serait une bonne idée.

Tu as un style d'écriture assez fluide et agréable, n'hésites donc pas à agrémenter ta fiche de nombreuses descriptions supplémentaires et ainsi éviter de donner une impression de grosbillisme.

Dernier point et le plus important; ton don.
Les mots me manquent pour te faire comprendre à quel point c'est juste.. Pas possible.
Trop de grosbillisme. Beaucoup trop. Le principe de pallier a été inventé pour éviter aux membres de pondre des personnages maîtrisant parfaitement un don au début de leur vie. Or, là, tu as un personnage de 90 ans, dont le premier palier est de faire pousser des lierres très résistant qui plus est, à une vitesse impressionnante pouvant emprisonner ses ennemis.

Face à ce genre de choses, je n'ai qu'une envie, c'est de dire " et pourquoi pas balancer des éclairs avec ses yeux et péter des gaz nocifs permettant d'éradiquer toute forme de vie sur terre ?"
Bien sur, je dis ça sur un ton humoristique, mais il faut que tu prennes conscience que tu ne peux pas avoir un personnage ayant autant de possibilité. Il te faut revoir ton don à la baisse et donc ne pas permettre de maîtriser lierre, ronce, fleurs, épines et autre. Il te faut préciser ton don, il est trop vague est laisse un champ d'action bien trop élevé.

Et pour finir ! Il te faudra ajouter le code du règlement dans ta fiche, sans quoi elle ne pourra pas être validée et bien sur corriger toutes les petites choses qui ne vont pas.

Si tu as la moindre question, le staff reste à ta disposition, n'hésite pas !
Bon courage

Je me permet un double post pour te faire part de ce qui ne va toujours pas dans ta fiche.


Alors, dans un premier temps, le don ne va toujours pas.
Il faut que tu te recentres et trouve UN SEUL et même don. Et non pas plusieurs. Là, ton personnage peut maîtriser trop de choses qui ne font pas toutes partie du même don. Tu peux par exemple te concentrer sur l'idée de déstabilisation sensorielle ou même de faire remonter les peurs de tes ennemis, mais pas tout cela en même temps. Tant que tu n'auras pas modifié ton don de façon à ce qu'il soit moins... "grosbill ?" tu ne pourras être validée.

Ensuite, ton histoire est modifiée, ça me semble convenable désormais, bien qu'assez simple, tu ne t'es pas trop embêtée et a préférer omettre la raison pour laquelle ils sont en conflits ce qui ne me pose pas de problème en soit.

Il y a aussi quelque chose qu'il va falloir modifier; la monture.
Tu ne peux avoir une monture directement, tu pourras en acquérir une par la voie RP en allant dans la partie monture. Les chevaux sont des montures gratuites qui ne te coûteront pas de pièces d'or.

Voilà voilà, n'hésite pas si tu as d'autres questions, je reste à ta disposition.
Bon courage

Ah oui je vois.. Mais du coup, au niveau des dégats possible que peuvent créer cette bulle, ils sont annulés aussitot la sphère stoppée ?
Ca risque d'être très difficile à jouer et j'ai peur que tu te tende un piège à toi toute seule avec ce don, si tu souhaites le garder alors soit, mais je pense qu'il sera très difficile à gérer. Un don de modification du temps, ou de visions par exemple pourrait être plus simple à jouer, par exemple permettre à ton personnage de voir le futur et le passé chez certaine personne voir dans son total controle chez n'importe quelle personne qu'elle aurait décidé de sonder ?

Comme tu veux !

Bien le bonjour, Meryda Telvani, fille de Do'vryen

Je viens donner mon verdict concernant ta fiche qui aura été laborieuse à parvenir à réaliser mais tu y es finalement parvenu, ce qui au final est ce qui t'étais demandé.

Par conséquent, je te valide ta fiche, bienvenue chez les Humains de notre très cher forum. Cependant, il te faudra faire attention à gérer convenablement ton don qui a l'air relativement complexe.

Pense à générer ta fiche de personnage dans ton profil et n'hésite pas à faire une demande de rp ou à répondre à une demande.

Bon courage à toi, le staff reste à ta disposition en cas de question.

Puisse le sort t'être favorable, jeune humaine.