Préambule  
Du personnage

Prénom & nom : Mÿrialliä de Mariposa
Sexe : ♀
Âge du personnage : 102 ans
Race : Elfe
Peuple : Peuple de l’Éternel
Compétence magique ? (Oui/Non) : Oui

Description
Physique

Mÿrialliä est une jeune et très belle elfe, caractéristique propre à son peuple, d’ailleurs. Comme tout être de son espèce, cette fille est grande, et toise les 1m76. Bien que sa croissance ne soit pas encore terminée, elle a d’ors-et-déjà presque atteint sa taille adulte. Ne dépassant certainement pas les 60 kg, mademoiselle de Mariposa a une allure élancée, de par sa finesse naturelle. Loin d’être trapue, sa masse musculaire est la part la plus lourde de son corps, dépassant facilement le poids de son frêle squelette, pourtant solide, ou encore de ses organes vitaux. Quant à la graisse, disons qu’elle est quasiment inexistante.  

La peau pâle, son expression n’en paraît que plus froide avec ses traits allongés. Cependant, la délicatesse de son visage, ses contours lisses et parfaits, en font une image harmonieuse. Ses yeux, vifs et perçants, sont de couleur verte, y reflétant l’éclat de Dame Nature, tandis que ses sourcils aux reflets d’or imitent les rayons de l’astre du jour. Elle est dotée d’un petit nez, de même pour son menton et sa bouche, dont les lèvres claires et peu charnues esquissent de merveilleux sourires. Ses minces oreilles, en pointe, sont enfouies entre ses magnifiques cheveux châtains. Cette chevelure chatoyante qui descend en cascade le long de son dos, jusqu’à sa taille.

La douceur de soie apparente sur ses joues, l’est également sur tout le reste de son corps. Elle descend dans son cou, faisant d’elle une certaine convoitise chez les vampires, puis s’étend à ses épaules souples, et poursuit sa route jusqu’à recouvrir chaque parcelle de sa peau. Les bras longs, ils ne perdent rien de leur fraîcheur lors d’un effort. Ses mains sont d’une rare pureté, caressant avec pudeur le monde qui l’entoure. La poitrine légère, la taille fine, Mÿrialliä ne manque pas de courbes gracieuses. Son ventre est plat, son dos cambre vaguement. Finalement, la jeune elfe possède de superbes jambes particulièrement attirantes, bien qu’elle ne s’en rende pas compte lorsqu’elle se déplace en toute innocence. Ses pieds, eux, sont tout ce qu’il y a de plus mignons, petits et agiles.

Mÿrialliä se vêtit ordinairement de pantalons d’un brun sombre, près du corps, ainsi que d’une tunique fluide de couleur verte. À la taille, elle porte une ceinture, soulignant ses formes, autour de laquelle est suspendue une sacoche en cuir, dans laquelle elle range ses effets personnels. En bandoulière, l’elfe porte également un carquois, dans lequel y sont disposées soigneusement ses flèches, taillées dans le bois d’un chêne, et au bout desquelles elle y attache les plumes d’un cygne. Son arc, quant à lui, elle se contente de le mettre à l’épaule, d’où il est rapidement accessible en cas de besoin. Afin de progresser dans tous types de paysages, Mÿrialliä a utilisé son argent pour des chaussures de bonne qualité. En effet, ses bottines en cuir souple sont non seulement solides, mais surtout étanches. Enfin, la jeune elfe laisse habituellement ses cheveux détachés, ondulant au gré du vent.

Malgré cet attirail avant tout pratique, il lui arrive de temps à autres de porter des tenues plus adaptées à la ville. Lorsqu’elle y séjourne, ses fréquentations méritent une pointe de coquetterie, surtout étant donné leur niveau social. Alors elle enfile sa robe de satin blanche, ornementée de sublimes et délicates broderies d’or, mettant en valeur sa chevelure solaire. Le haut suivant délicieusement les courbes de son buste, tandis que la jupe évasée rend le tout moins strict et plus aérien. Pour aller avec, Mÿrialliä chausse des sandales estivales, met son collier à la perle nacrée, et noue ses cheveux d’un chignon tressé impeccable.

Description
Mentale

Mÿrialliä de Mariposa, de par sa jeunesse, est une elfe novice et innocente, sans pour autant être naïve. Son intelligence développée est comme la pointe aiguisée de ses flèches ; perçante et dévoilant presque toujours l’âme, le cœur, de sa cible. Sa pensée divergente est extrêmement efficace, florissant dans son esprit comme le ferait une plante qui s’épanouit. Bien que sa rapidité de réflexion et d’analyse trahisse cet atout, Mÿrialliä est tout à fait capable de masquer ses émotions, dont elle en a acquis un contrôle presque total. Bien sûr, cette ingéniosité n’est pas sans faille, car notre jeune amie n’a emmagasiné que peu d’expérience, se basant ainsi surtout sur sa capacité de déduction.

Hormis cette perspicacité, qui pourrait la faire apparaître comme une personne distante, Mÿrialliä est avant tout quelqu’un de profondément empathique. Sa sollicitude envers ceux qui ont besoin d’aide est infinie. Jamais elle n’abandonnerait sur son chemin des gens dont la sincérité est inébranlable. Persévérante, cette adolescente se battra pour honorer ses convictions. Malheureusement, cela signifie également qu’à la disparition de la dernière étincelle d’espoir, sa sensibilité la rendra particulièrement vulnérable à la tristesse. Durant les périodes sombres de sa vie, cette jeune elfe se laissera aller jusqu’aux portes de la mort, et seule une aide extérieure pourra l’en tirer.

Ouverte et réceptive, la vitalité de Mÿrialliä dépendra énormément de son environnement. Plus son entourage resplendira de beauté, mieux elle se portera. Néanmoins, l’inverse est aussi valable. Lors des jours heureux, elle sera pleine de légèreté et d’allégresse, suivie d’une douce brise de pureté. Sa démarche dansante sera le reflet de son état d’esprit. D’humeur chantante, elle profitera de chaque instant, allant même jusqu’à jouer de la musique, dont les sons mélodieux enchanteront ceux qui se trouveront sur la même voie qu’elle. Respirant un air sain, Mÿrialliä vivra pleinement, emportant avec elle la nature et les autres dans son tourbillon de joie. Appliquée et créative, c’est dans des moments aussi optimaux qu’elle cultivera efficacement ses connaissances.

Cependant, chaque être au monde démontre un certain nombre de défauts, et Mÿrialliä n’échappe pas à la règle. La jeunette ne peut s’empêcher de se forger son opinion sur tout, y compris sur les autres. Les jugeant quelques fois prématurément, elle n’est pas très tolérante envers ceux qu’elle n’estime pas à son goût. Ceux qui ne se remettent jamais en question et ne font rien pour surmonter leurs faiblesses. Car il faut bien l’avouer, chez certains, les qualités ne sont que peu visibles sous la masse de vices. Dans ces cas-là, quand elle a du temps à perdre, l’elfe s’avère très têtue, complètement butée. Et seul un effort incommensurable la fera changer d’avis. On pourrait en quelque sorte résumer cela au fait qu’elle se « rabaisse à leur niveau ».

Votre
Histoire

Mÿrialliä de Mariposa. Un nom bien aristocratique, qui pourtant en dit bien peu sur ses origines. En effet, Mÿrialliä de Mariposa est la fille de deux elfes au sang pur. Son père, jadis un grand nom de la fierté elfique, chef de la cavalerie, avait cessé ses activités combatives le jour où il avait décidé de construire une vie avec l’elfe de ses rêves. Celle-ci, la mère de Mÿr’ , comme elle la surnommait, était une ménestrelle des plus envoûtantes. Ayant un don, un véritable talent pour la musique, elle enchantait les cœurs de ses compagnons. Que ça soit accompagnée de sa flûte ou encore de sa harpe, cette elfe laissait une trace derrière elle, que peu ne remarquaient pas. Néanmoins, son meilleur outil charmeur était bel et bien sa voix, avec laquelle elle chantait d’attendrissantes mélodies. Enfin, ce n’est pas son histoire à elle qui est à conter, c’est bien celle de sa fille.

Comme expliqué plus haut, deux elfes des plus respectables tombèrent amoureux l’un de l’autre. Ayant atteint l’Âge Mûr, ils décidèrent de laisser leur vie de nomades derrière eux, afin de trouver gîte à leur goût. Une fois mariés et leur maisonnette construite, tous deux vécurent en totale harmonie avec leur voisinage. Ils étudièrent l’herboristerie, et se formèrent en pharmaceutique, prêt à aider quiconque en avait besoin. Un jour pourtant, ils souhaitèrent fonder une famille, avoir un enfant. Cette décision était des plus inattendue, car non pas tous les couples chez les elfes avaient une progéniture. Le temps s’étirait tellement longuement qu’il n’était jamais le bon moment. Cependant… La femme-elfe désirait plus que tout sourire à l’être qui serait le fruit de leur amour, et lui chanter avec passion des berceuses enjôleuses.

Finalement, le jour tant attendu arriva. Par une douce journée de Radyël, l’épouse mit au monde leur bébé. Celui-ci, absolument ravissant, fût nommé Mÿrialliä. Cette jeune fille grandit au sein de sa famille, dans leur jolie cabane au cœur de la Forêt de l’Éternel. Elle apprit les mœurs de sa société, au sein d’une communauté d’elfes amoureux de la Nature. Les valeurs ancestrales de son Peuple lui furent transmises, ainsi que les principes de base, tels que l’expression elfique, orale et écrite, ainsi que la survie en forêt. Mÿrialliä apprit alors à se servir d’un arc, à se mouvoir avec agilité entre les arbres, à se nourrir de ce que la nature avait à offrir. Durant la deuxième partie de son enfance, la jeune elfe se rendit même quelques fois à la bibliothèque d’Ardamir, y découvrant nombres d’ouvrages intéressants, sur des sujets aussi divers et variés que le monde. Ce fut dans cette atmosphère qu’elle évolua pendant les cinquante premières années de sa vie, jouissant du jardin le plus équilibré, tantôt jouant avec d’autres enfants de son âge, tantôt se faufilant seule dans les sous-bois. Néanmoins, la jeunesse elfique dure suffisamment longtemps pour permettre à ceux qui découvrent le monde d’en apprendre beaucoup.

Ensuite, entrant dans l’adolescence, Mÿrialliä demeura quelques années chez elle, jusqu’à ses cent ans, suivant les conseils attentionnés de ses parents, et réalisant les changements que subissait son corps. Son esprit, lui-aussi, changeait. Elle n’avait plus les mêmes envies, se lassait de jouer dans les bois. Ne s’assagissant pas pour autant, elle voulu parcourir le monde d’elle-même, le voir de ses propres yeux, sans l’influence parentale. Alors elle rassembla quelques affaires, puis, après avoir promis à ses parents de leur donner des nouvelles régulièrement, se mit en quête d’aventure. Sans perdre ses facultés elfiques, qui l’aidèrent beaucoup, ainsi que les valeurs inculquées, la jeune elfe se dirigea tout d’abord vers l’est. Au bout d’un certain temps, elle arriva aux abords du Lac Miriel. Époustouflée par ce joyau de la nature, elle choisit d’y rester un moment.

Ce fut peu après son arrivée, que Mÿrialliä fit la rencontre d’un jeune panda roux, alors âgée d’à peine quelques semaines. Celle-ci venait d’on ne sait où, mais une chose était sûre, la petite boule de poil était encore trop jeune pour se débrouiller seule. L’adolescente choisit immédiatement de la prendre sous son aile. Le regard attendrissant, elle avait quelque chose qui attirait Mÿrialliä, et ce fut ça plus que son lien avec la nature qui la poussa à partager sa vie avec elle. Tout d’abord, elle la nourrit et la protégea du froid, tout en prenant plaisir à jouer avec elle. Puis, un lien étrange se tissa entre ces deux êtres, et le petit mammifère, à présent âgée de deux ans, et nommée Alda (signifiant « arbre » en elfique), ne quitta plus l’elfe. Celle-ci accompagnait Mÿrialliä dans ses moindres déplacements, quel que soit le chemin que la fille empruntait. Unies, les deux femelles s’aimaient profondément, et la jeune elfe redoutait la vieillesse que subirait sa compagne de voyage. Car au fond d’elle-même, elle savait que son amie n’était pas éternelle, que le poids des années avait plus d’importance sur les petits pandas que sur elle-même…

Présentation de
Votre don

Mÿrialliä a un don particulièrement privilégié. Elle communie avec la nature. En d’autres termes, elle est capable de comprendre ce qu’expriment tous les êtres vivants capables d'émettre un son (autrement dit, la faune). Pourtant, un tel présent de Mère Nature a son lot de conséquences. L’elfe sylvestre ne peut choisir les animaux qu’elle souhaite entendre, ni l’instant où ils parleront. Ainsi il lui faudra une certaine concentration afin de focaliser son attention sur certaines paroles plutôt que sur d’autres, ce qui lui procurera une fatigue plus ou moins intense. Suivant l'intensité de l'échange, ou la portée de ses paroles, l'elfe subira également quelques migraines.

PALIER 1
Mÿrialliä entendra des murmures, mais se demandera de quoi il s’agit, imaginant être folle. Peu à peu, les chuchotements les plus évidents (par exemple, des animaux les plus communs, proches d’elle, ou véhiculant une émotion forte) lui parviendront distinctement, et elle pourra les comprendre.

PALIER 2
Au fur et à mesure, Mÿrialliä commencera à comprendre les mots de tous, même si cela lui demandera une concentration extrême, qui diminuera par la suite.

PALIER 3
Elle saura différencier tous les sons, en saisir le sens, si elle se montre suffisamment attentive, et tentera même d’y répondre. Bien sûr, ses réponses ne seront qu’aléatoirement reçues.

PALIER 4
Désormais, la communication est symbiotique. Mÿrialliä pourra échanger presque sans efforts, avec les êtres vivants alentours (des messages pourront même être transmis).

Complément
De la fiche

Code : Validé par Izilbêth
Comment es-tu arrivé ici ? En cherchant sur google
Que penses-tu du forum pour le moment ? Très bien, il faut juste que je m’y habitue.
Votre âge? Pourquoi vous me tutoyez sur les autres questions et ici me vouvoyez ? J’ai 16 ans.
Temps de présence possible sur le forum? Difficilement définissable, dépend de beaucoup de choses.